"Les juristes romains savaient exactement ce que signifiait " profaner ". Sacrées ou religieuses étaient les choses qui appartenaient en quelque sorte aux dieux. En tant que telles, ils ont été interdites a la libre utilisation et le commerce des hommes, ils ne pouvaient pas être vendus ou donnés en prêt, cédé en servitude, usufruit ou imposé. Sacrilège était tout acte qui violerait ou enfreindrait cette non-disponibilité spéciale, qui a était réservé exclusivement aux dieux célestes (et ont été correctement appelé " sacré ") ou de l'enfer (dans ce cas, ils ont été appelés simplement " religieux "). Et si sacrer (sacrare) est le terme désignant les choses de la sphère des droits de l'homme, d'autre part profaner signifie à les retourner à la libre utilisation des hommes. " Profane, -il écrit le grand juriste Trebacio- est dit dans le sens propre de ce qui, étant sacré ou religieux, est rétablie à l'utilisation et la propriété des hommes. Et " pur " était l'endroit qui avait été délié de son destination aux dieux des morts, et était donc plus « ni sacré ni saint, ni religieux, libéré de tous les noms dans ce genre "